Un Italien a marché 450 km pour se calmer, après une dispute conjugale

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Cap aujourd’hui sur l’ Italie, pour un fait divers aussi drôle que rocambolesque !

Notre histoire insolite met en scène un Italien de 48 ans, arrêté pour non-respect du confinement, qui a affirmé avoir marché 450 kilomètres pour se remettre de ses émotions après… une dispute conjugale.

Oui, vous avez bien lu ! 

Crédit photo : Creaturart Images / Shutterstock

Une marche de 450 kilomètres pour se calmer après une belle « engueulade » avec sa femme

Les faits se sont déroulés fin 2020 chez nos amis transalpins, à Fano, ville balnéaire du nord de l’Italie.

En pleine crise sanitaire liée au Covid-19 et alors que la population italienne restait confinée, l’individu a donc claqué la porte de son domicile, situé à Côme en Lombardie, après une belle prise de bec avec Madame, pour s’aérer un peu l’esprit et se calmer.

Mais cette ballade, visiblement vitale à ses yeux, s’est peu à peu transformée en un véritable marathon d’une semaine, que n’aurait pas renié le champion du monde de la marche Yohann Diniz.

« Je me suis disputé avec ma femme, j’ai donc voulu sortir, marcher un peu pour me changer les idées », a-t-il ainsi expliqué aux policiers qui l’ont appréhendé.

Il lui aura donc fallu sept jours et pas moins de 450 km pour redescendre… avec tout de même une jolie moyenne de 65 km par jour.

Finalement, les époux se sont rabibochés et Madame est venue chercher son mari qui a donc regagné le domicile conjugal, non sans avoir payé une amende de 400 euros, pour ne pas avoir respecté les restrictions sanitaires.

Il a donc perdu une somme conséquente mais a tout de même gagné un nouveau surnom : le Forrest Gump italien !

Au sujet de l'auteur : Mathieu D'Hondt

Évoluant dans la presse web depuis l’époque où celle-ci n’en était encore qu’à ses balbutiements, Mathieu est un journaliste autodidacte et l’un de nos principaux rédacteurs. Naviguant entre les news généralistes et les contenus plus décalés, sa plume s’efforce d’innover dans la forme sans jamais sacrifier le fond. Au-delà de l’actualité, son travail s’intéresse autant à l’histoire qu’aux questions environnementales et témoigne d’une certaine sensibilité à la cause animale.