Que mangent les Français lorsqu’ils ont un petit coup de mou ? Harris Interactive a mené l'enquête pour Deliveroo relayée par Snacking et nous révèle quelques résultats surprenants.
C'est bien connu, les Français sont très attachés à la gastronomie. Il n'est donc pas étonnant de les voir se réfugier derrière la nourriture, comme c'est le cas pour 82 % des Français, au même titre que voir des proches (88 %), se balader (85 %) ou regarder un film (81 %). L'étude ne nous dit pas si le combo Netflix and Food dépasse les 100 % mais on n'en doute pas une seconde. Cette étude approfondie nous révèle également que cette pratique touche un peu plus les femmes (84 %) que les hommes (79 %), avec un penchant pour le sucré (56 %) plutôt que le salé (44 %). Lorsque l'on s'attarde de plus près à cette dernière statistique, on constate que plus des 2/3 des 18-34 ans sont attirés par le sucré en période de baisse de moral.
crédits : Syda Productions
Qu’en est-il de l'éternel débat entre plats caloriques ou plats sains ? Encore une fois, le choc des générations est bien présent, avec 73 % des plus de 55 ans optant pour l'option saine et 64 % des 18-34 ans optant pour la formule calorique. Sans aucune surprise, l'aliment considéré comme le plus réconfortant par 54 % des Français est le chocolat, vainqueur par k.-o. sur ses concurrents. On remarque que les Français gardent un côté chauvin avec 30 % des interrogés plébiscitant le fromage comme aliment le plus réconfortant.
Calories oblige, la junk food tient la dragée haute aux plats dits «traditionnels» : le trio de tête se compose de la pizza (34 %), du hamburger frites (28 %) et des pâtes à la carbonara (25 %) pour ce qui est des plats.
Concernant les desserts, on retrouve le chocolat en tête du classement grâce au fondant (36 %). Les traditions reprennent également le dessus grâce aux crêpes (31 %) et la crème glacée (25 %). Les brownies restent les plus appréciés par les 18-34 ans (28 %).
Cette étude a été réalisée en 2018 auprès de 1 031 personnes âgées de plus de 18 ans en France. Pour retrouver l'étude complète, c'est par ici.