« Sur la branche », un film à mi-chemin entre comédie romantique et conte moderne

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Avec son deuxième long-métrage « Sur la Branche », la réalisatrice Marie Garel-Weiss tente un audacieux mélange des genres, qui met en scène des personnages en marge mais ô combien attachants.

Depuis 2017 et la sortie de son très réussi premier film « La Fête est finie », qui lui avait valu d’excellentes critiques, Marie Garel-Weiss était attendue au tournant pour son deuxième long-métrage.

Et le moins que l’on puisse dire, c’est que la réalisatrice a confirmé tout le bien que l’on pensait d’elle avec « Sur la branche », un ovni à mi-chemin entre la comédie romantique et le conte absurde. Le tout porté par un improbable duo d’acteurs formé par Daphné Patakia (« Les cinq diables », « Benedetta ») et Benoît Poelvoorde (que l’on ne présente plus).

Crédit photo : Pyramide

« Sur la branche », le deuxième film de Marie Garel-Weiss, sort en salles

En salle ce mercredi 26 juillet, le film met en scène le personnage de Mimi (incarnée par Daphné Patakia), une trentenaire sans filtres dont la franchise et les agissements sont à la fois désarmants et rafraîchissants.

À ses côtés, on retrouve Paul (Benoît Poelvoorde), un avocat raté de 50 ans en pleine dépression, qui voit débarquer dans sa vie cette jeune femme insouciante et qui n’a pas sa langue dans sa poche.

Ensemble, ils vont tenter de faire sortir de prison un jeune arnaqueur de pacotille, qui se retrouve en prison alors qu’il clame son innocence.

Raphaël Quenard (« Fragile », « Novembre », « Chien de la casse ») et Agnès Jaoui complètent le casting de cette comédie aux allures de conte moderne.

Au-delà de l’intrigue, ce film explore plusieurs domaines à travers des personnages hauts en couleurs et marginaux, auxquels on s’attache véritablement.

En salle ce mercredi 26 juillet.