En Angleterre, un village accueille des chats âgés destinés à être euthanasiés. Cette belle initiative est née grâce à une association.
C’est un triste constat : les chats âgés proposés à l’adoption peinent à trouver une nouvelle famille. Malheureusement, certains d’entre eux finissent par être euthanasiés à cause du manque de foyers prêts à les adopter et de la saturation des refuges.
Face à cette situation, une association britannique a décidé d’agir. Son nom ne vous dit sûrement rien, mais Shropshire Cat Rescue est un refuge animalier qui sauve des chats errants.
Un jour, la propriétaire du refuge en a eu assez de voir des chats âgés se faire rejeter par de potentiels adoptants. Elle a donc décidé de faire quelque chose pour leur venir en aide : créer un village senior pour…chats !
Ce lieu exceptionnel recueille les matous de plus de 20 ans, destinés à être euthanasiés. Sur place, les boules de poils cohabitent et interagissent avec les villageois.
Un paradis pour chats
Comme le précise le site Upworthy, le docteur Scott Miller, vétérinaire et propriétaire d'un chat âgé, est venu visiter le village. Et le moins que l’on puisse dire, c’est que ce dernier a été impressionné par tout ce que cette communauté avait à offrir aux félins.
Pour le moment, la minuscule ville abrite 17 chats. L’association a également mis en place un programme qui permet aux enfants de la région de venir jouer avec les quadrupèdes. Ainsi, les pensionnaires poilus ont la possibilité de socialiser avec des humains et d'autres chats tout en recevant les soins dont ils ont besoin. Résultat : les chats peuvent vivre le reste de leur vie en étant aimés par les bénévoles et les enfants qui leur rendent visite.
Crédit photo : image d'illustration / istock
Shropshire Cat Rescue n'est pas la seule maison de retraite pour félins. En Floride, un couple accueille les chats âgés dans son jardin. De son côté, le village de Shropshire ressemble plus à une mini-ville.
On y trouve des magasins et d’autres éléments essentiels à la ville, conçus pour le bien-être de ses habitants à quatre pattes.
