Toronto : un raton laveur sème la panique et plonge 7000 personnes dans le noir

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Plus tôt ce mois-ci, un animal aussi adorable que farouche a semé la panique à Toronto. Explications.

Le 1er février dernier, une panne d’électricité a plongé une petite partie de la ville de Toronto (Canada) dans le noir. Au total, plus de 7000 habitants ont été privés de courant aux alentours de 21 heures.

Mais ce n’est pas tout ! Cet incident a eu un impact sur les feux de circulation et les services de transport, provoquant ainsi de nombreux problèmes de circulation.

Crédit Photo : iStock

Face à cette situation, les pompiers ont été dépêchés sur les lieux pour secourir des personnes coincées dans des ascenseurs.

La coupure de courant a été causée par un… animal sauvage

Comme le rapporte CBA, cette coupure générale a été causée par un… raton laveur. En effet, l’animal un brin farceur aurait réussi à se faufiler dans le système de distribution électrique de la société Toronto Hydro.

Le moins que l’on puisse dire, c’est que le mammifère au pelage poivre et sel a semé la zizanie pendant plusieurs heures. Pour le moment, les autorités ignorent comment l’animal a pu se faufiler à l’intérieur.

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Vous l’ignorez peut-être, mais Toronto est surnommée «la capitale mondiale du raton laveur». Comme le précise Radio-Canada, «on dénombre 100 ratons laveurs au kilomètre carré à Toronto».

Ces animaux habituellement craintifs commencent à inquiéter les autorités, qui recommandent à la population d’éviter d’entrer en contact avec eux. Cette espèce sauvage peut transmettre de nombreuses maladies comme la rage ou la gale. 

Source : France live

Au sujet de l'auteur : Jenna Barabinot

Depuis 1 an et demi, je m’efforce de produire des articles de qualité tout en gardant ma touche d’humour. Mon domaine de prédilection ? Les histoires d’animaux qui se terminent en happy end. Je suis d’ailleurs incollable sur les races des chiens. Les sujets de société me passionnent et me permettent de perfectionner ma plume. J’affectionne aussi la rubrique « entertainment » car elle m’offre une parenthèse pailletée.