Après l'eau de son bain, elle veut offrir des coques de téléphones parfumées... à son odeur intime

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Ruby Nikara, 22 ans, est devenue populaire après avoir eu l’idée de vendre l’eau de son bain. L’influenceuse est de retour et compte faire plaisir à ses fans en leur offrant des coques de téléphone frottées contre ses parties intimes.

Ruby Nikara est une jeune influenceuse de 22 ans qui fait beaucoup parler d’elle. La raison ? La jeune femme est devenue populaire après avoir décidé de vendre l’eau de son bain, à 1 500 euros le flacon. Ruby Nikara a également vendu ses culottes sales pour 1 000 euros la pièce.

Récemment, la jeune femme a eu une nouvelle idée qu’elle a annoncée lors de son passage dans l’émission Touche pas à mon poste, ce vendredi 6 octobre. Ruby Nikara souhaite offrir à ses fans des coques de téléphone parfumées à son odeur intime.

Des coques personnalisées 

Concrètement, les coques sont frottées contre ses parties intimes avant d’être envoyées à leurs destinataires. Ruby Nikara a eu cette idée lors d'un meet-up virtuel organisé avec ses abonnés, pendant lequel elle a souhaité dédicacer une coque... à sa manière. 

“Quelqu’un va avoir la chance de recevoir ma coque personnalisée dédicacée, avec un cœur. Très personnalisée, comme vous pouvez le constater, a expliqué la jeune femme pendant le meet-up en passant la coque sur ses parties intimes. Maintenant, elle sent les boobs. J’insiste bien pour qu’elle s’imprègne de mon odeur. Voilà, maintenant, elle sent également les fesses.”

Sur le plateau de l’émission, Ruby Nikara a été vivement critiquée par Moon, une nouvelle chroniqueuse également influenceuse sur les réseaux sociaux.

“J’aimerais qu’on sépare les influenceurs de ta personne, désolée. Je fais ce métier aussi, créatrice de contenus, et je n’aime pas être associée à des gens à qui aujourd’hui, heureusement ou malheureusement, on donne de la lumière”, a-t-elle déclaré.

Cet objet, destiné aux fans de Ruby Nikara, est donc loin de faire l’unanimité.

Source : Marie France

Au sujet de l'auteur : Céline Gautier

Journaliste

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