D’après vous, quel est le comble pour un tueur à gages ?
S’apercevoir que nous ne sommes plus en mesure d’exercer l’activité que l’on fait avec passion depuis des années s’avère être une chose délicate à vivre.
La pilule est encore plus difficile à avaler lorsque les raisons qui vous poussent à abandonner sont inexplicables et indépendantes de votre volonté.
Tel est le cauchemar que vit Max, le héros du film « Les Complices », sorti en avril dernier au cinéma et déjà disponible à l'achat et en location en VOD.
Crédit photo : SND
Incarné par l’inénarrable François Damiens, ce personnage est un tueur à gages au tempérament surprenant, dans la mesure où il considère son travail comme n'importe quel autre. Mais son monde s'écroule lorsqu'il découvre, du jour au lendemain, qu’il ne supporte plus la vue du… sang. Plutôt fâcheux pour quelqu’un dont le métier est de supprimer des gens. N’est-ce pas ?
Crédit photo : SND
Il croisera aussi la route d'un couple dont le comportement est aux antipodes du sien. Les amoureux, incarnés par William Lebghil et Laura Felpin, sont tout ce qu'il n'est pas : joyeux, dynamiques, chaleureux, enthousiastes et naïfs. Alors face à un tueur froid et calculateur, le contraste n'en est que plus amusant !
Crédit photo : SND
Forcément, avec un tel synopsis aussi génial qu’absurde, on n’a pas pu s’empêcher de se demander, non sans un certain humour, quel pouvait être le comble pour un tueur à gages.
Voici donc un top 5 « mortel » et surtout bien drôle :
Quel est le comble pour un tueur à gages ?
- Avoir les yeux revolvers
Une bonne vision et un regard qui tue, ça aide quand ton job est de liquider. Blague à part, un tueur à gages qui a les yeux revolvers, ça ne s’invente pas.
- Être sensible ou… sans cible
Un tueur à gages se doit de ne pas faire de sentiments lorsqu’il doit exécuter un contrat. Faire preuve de sensibilité n’est donc pas vraiment conseillé mais encore faut-il avoir du travail car, sans cible, la vie d’un « nettoyeur » est d’un ennui mortel.
- Tuer le temps
Lorsqu’il n’y a plus personne à exécuter, le tueur à gages se retrouve au chômage technique. Et sans contrat, la meilleure chose à faire est de tuer le temps. L’avantage, c’est qu’on n’a pas de sang sur les mains.
- Passer l’arme à gauche
Si le tueur à gages subit le même sort qu’il réserve à ses victimes, la boucle est bouclée. Finalement, passer l’arme à gauche quand on passe sa vie à tuer, c’est somme toute logique. Le karma, tout ça, tout ça…
- Changer son fusil d’épaule
Tuer, c’est excessivement éprouvant mentalement et physiquement alors avec une telle carrière dans le crime, il faut savoir dire stop avant de faire la victime de trop. Changer son fusil d’épaule et tout plaquer n’est donc pas si une mauvaise idée.
C’est d’ailleurs ce que sera peut-être obligé de faire ce cher François Damiens dans « Les Complices ». Pour le savoir, découvrez dès maintenant le film en VOD !