Apprenez l’anatomie en disséquant ces animaux… faits de laine : finis les cauchemars !

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À l’école, on a tous connu ce moment, en cours d’SVT, où pour bien comprendre le fonctionnement de l’organisme, le prof nous demandait de disséquer de cadavres d’animaux. Résultat, pas mal de souvenirs douloureux et un traumatisme qui ne partira pas de sitôt ! Heureusement, une artiste américaine est en passe de changer ça…

@etsy.com/Emily Stoneking


Emily Stoneking est une fan et experte du tricot. Mais si la jeune femme originaire de Burlington (États-Unis) est en train de devenir mondialement connue, c’est pour ce qu’elle en a fait. Ses créations de dissections animales pourraient bien être une vraie petite révolution dans le monde de l’éducation !

En effet, grâce à ses petites peluches d’un nouveau genre, les enfants, les ados et les pré-adultes pourraient tout aussi bien comprendre leur cours d’anatomie, sans en être dégoûtés à vie. Désormais, plus d’odeur nauséabonde, plus de sang, plus de vrais cadavres sous les yeux. Les animaux en laine ne possèdent que les organes liés au cours, et ces derniers ont des couleurs bien distinctes pour mieux les différencier.

@etsy.com/Emily Stoneking

@etsy.com/Emily Stoneking

@etsy.com/Emily Stoneking


« En réalité, c’est vraiment compliqué de s’y retrouver lors de la dissection et les couleurs sont toutes dans les mêmes tons. Je souhaitais que mon travail ressemble plus à des illustrations en 3D tout en agrandissant l’échelle. Les animaux que je fais sont plus gros que dans la vraie vie, c’est fait exprès pour pouvoir voir les choses plus facilement » explique Emily Stoneking.

Elle a beau ne pas être scientifique, la jeune femme a fait énormément de recherches et a lu beaucoup de livres pour parfaire ses connaissances. Du coup, à l’arrivée, tout est correct d’un point de vue anatomique !

@etsy.com/Emily Stoneking

@etsy.com/Emily Stoneking

@etsy.com/Emily Stoneking

@etsy.com/Emily Stoneking

@etsy.com/Emily Stoneking


Alors, rassurés ?

Source : IFLScience

Au sujet de l'auteur : Clément P.

Journaliste