10 jours après sa violente agression à Toulouse, la streameuse Jinnytty de nouveau victime d'une mauvaise rencontre

La streameuse Jinnytty, qui visite l'Hexagone, a une nouvelle fois été la cible d'un délinquant.

La France a beau être la destination la plus plébiscitée au monde par les touristes, notre pays ne restera certainement pas un bon souvenir pour Jinnytty.

Moins de deux semaines après avoir été agressée dans les rues de Toulouse (Haute-Garonne), la célèbre streameuse sud-coréenne a, cette fois, été victime d'une tentative de vol dans les Bouches-du-Rhône. Cet incident a eu lieu alors que la jeune femme de 32 ans était en train de réaliser un live sur réseaux sociaux.

Après avoir été agressée, la streameuse sud-coréenneJinnytty victime d'une tentative de vol

Les faits ont eu lieu le samedi 17 mai à Aix-en-Provence.

La trentenaire, suivie par plus d'un million de personnes sur la plateforme Twitch, se trouvait à la terrasse d'un restaurant lorsqu'elle a aperçu un individu au comportement douteux s'approcher de sa bicyclette, stationnée juste en face de l'établissement. L'homme, tout de noir vêtu, a commencé à fouiller le porte-bagage de la jeune femme, ce qui a immédiatement fait réagir cette dernière. La streameuse s'est alors levée de sa chaise et a crié en direction du voleur, en lui demandant, à plusieurs reprises, ce qu'il était en train de faire, en anglais.

Pris sur le fait, l'homme s'est enfui dans la foulée.

Ce nouvel incident intervient 10 jours après l'agression qu'avait subie la jeune femme à Toulouse. Ce jour-là, alors qu'elle faisait découvrir la « ville rose » à ses abonnés, Jinnytty avait été violemment prise à partie par un homme circulant à trottinette. Celui-ci l'avait insultée puis frappée au visage, avant de taper sur son téléphone. « Tu veux quoi, sale pute ? Casse-toi de là ! », lui avait par ailleurs lancé cet individu.

La séquence, diffusée en direct sur Twitch, avait profondément choqué les internautes. Dans la foulée, le procureur de la République avait demandé à la direction interdépartementale de la Police nationale de Haute-Garonne d’ouvrir une enquête pour « violences éventuellement aggravées par leur caractère raciste et d’outrage sexiste. ».