Malgré sa paralysie, elle parvient à peindre des tableaux dignes des plus grands… avec sa bouche !

En 1996, alors qu’elle n’était qu’au début de sa carrière d’artiste à l’âge de 20 ans, Mariam Paré, une Américaine née au Maroc et vivant à Chicago, a été la victime d’un tragique accident.

Au volant de sa voiture, on lui a en effet tiré dessus ! Touchée par balles, ses vertèbres cervicales C5 et C7 sont gravement endommagées. Dès lors, Mariam est atteinte de quadriplégie (paralysie des quatre membres), et le restera. Dans de telles circonstances, beaucoup auraient abandonné.

Mais c’était mal connaître la jeune artiste.

@mariampare.com

En effet, un deuxième événement assez inattendu a changé sa vie. Lors de sa rééducation, Mariam a dû signer un document. Et pour ce faire, elle a dû tenir un stylo avec sa bouche. Impressionnée par le rendu final, proche de ce qu’elle faisait jusqu’ici avec sa main, elle a eu l’idée de continuer dans cette voie, avec la peinture. Tenir le pinceau avec sa bouche est alors apparu comme une évidence.

Les huit années qui ont suivi cette révélation, Mariam s’est entraînée à retrouver les mêmes capacités qu’elle avait avec ses mains, mais avec sa nouvelle technique. Aujourd’hui, à 40 ans, l’artiste peint toujours. Et son talent impressionne dans le monde entier.

En voyant les tableaux sublimes qu’elle est capable de peindre, vous n’allez pas y croire. Et pourtant, tout est bien vrai.

@mariampare.com
@mariampare.com
@mariampare.com
@mariampare.com
@mariampare.com
@mariampare.com
@mariampare.com
@mariampare.com
@mariampare.com
@mariampare.com
@mariampare.com
@mariampare.com
@mariampare.com
@mariampare.com
@mariampare.com
@mariampare.com
@mariampare.com
@mariampare.com
@mariampare.com
@mariampare.com


Au fil du temps et grâce à une énorme force de caractère, Mariam Paré est devenue un exemple et une inspiration pour d’autres blessés comme elle. La leçon d’abnégation qu’elle nous donne est tout simplement magnifique.

Un seul mot : RESPECT.
Source : Mariam Paré

author-avatar

Au sujet de l'auteur : Clément P.

Journaliste