Sophia Loren marque son retour au cinéma dans « La vie devant soi », disponible sur Netflix

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Après dix ans d’absence, Sophia Loren est à l’affiche du film « La vie devant soi », réalisé par Edoardo Ponti, le fils de l’actrice.

Cette nouvelle adaptation du roman de Romain Gary est disponible ce vendredi sur Netflix. Cette production marque le grand retour de l’icône de l'âge d'or du cinéma italien

Sophia Loren : un come-back réussi

Dans le film, Sophia Loren prête ses traits à Madame Rosa, une ancienne prostituée qui héberge dans son appartement du sud de l’Italie des enfants nés de la prostitution.

Crédit Photo : Netflix

Elle accepte à contrecoeur de recueillir chez elle le jeune Momo, un réfugié sénégalais de 12 ans. Après des débuts difficiles, la vieille dame (survivante de l’Holocauste) et le gamin des rues vont apprendre à s’aimer.

Dans « La vie devant soi », l’actrice italienne âgée de 86 ans donne la réplique à Ibrahima Gueye, un adolescent qui n’avait encore jamais joué au cinéma.

La vie devant soi : un roman primé

Le roman de Roman Gary a reçu le prix Goncourt en 1975. Depuis sa sortie, il a fait l’objet de plusieurs adaptations cinématographiques. La plus marquante de toutes reste celle du réalisateur israélien Moshé Mizrahi, avec Simone Signoret dans le rôle de Madame Rosa.

En 1978, l’actrice française obtient le César de la meilleure actrice et le long métrage est récompensé la même année par l'Oscar du meilleur film étranger. De son côté, Sophia Loren a eu la lourde tâche de succéder à Simone Signoret en incarnant Madame Rosa.

Pour rappel, la comédienne remporte l’Oscar de la meilleure actrice grâce à son interprétation d’une jeune veuve dans le film «La ciociara», de Vittorio De Sica. Suite à ce succès, elle entame une carrière internationale et tourne avec les meilleurs réalisateurs de l’époque.

Crédit Photo : Arte


Au sujet de l'auteur : Jenna Barabinot

Depuis 1 an et demi, je m’efforce de produire des articles de qualité tout en gardant ma touche d’humour. Mon domaine de prédilection ? Les histoires d’animaux qui se terminent en happy end. Je suis d’ailleurs incollable sur les races des chiens. Les sujets de société me passionnent et me permettent de perfectionner ma plume. J’affectionne aussi la rubrique « entertainment » car elle m’offre une parenthèse pailletée.