Cette mère de famille donne un prénom de drogue à son bébé pour une raison bien précise

En Australie, une femme n’a pas hésité à donner un prénom de drogue à son enfant pour une raison bien précise. Et cette dernière ne s’attendait à obtenir le feu vert de l’état civil.

Ce n’est un secret pour personne : choisir le prénom de son enfant n’est pas une mince affaire. En France, les futurs parents sont libres de donner un prénom déjà utilisé ou d’en créer un nouveau.

En effet, l’officier de l’état civil «ne peut pas refuser le prénom choisi par les parents», stipule Service-public.fr, sauf si celui-ci est «contraire à l'intérêt de l’enfant». Une règle qui s’impose également en Australie.

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En revanche, l’État peut donner un prénom en cas «de refus du choix des parents par le registre officiel». C’est en tout cas ce qu’a voulu tester une journaliste pour les besoins de son enquête.

Elle donne un prénom de drogue à son bébé et fait une découverte étonnante

C’est dans ce contexte que cette mère de trois enfants, une certaine Kirsten Drysdal, n’a pas hésité à donner le prénom d’une drogue à son nouveau-né avec le consentement de son époux.

Comme le précise le magazine féminin, l’Australienne a décidé d’appeler son bébé méthamphétamine : «On a pensé soumettre le nom le plus scandaleux possible, en supposant qu’il serait rejeté», a-t-elle expliqué au site australiennews.com.

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Mais le couple est tombé des nues en découvrant que l’état civil avait accepté le prénom : «Malheureusement, les règles sur la méthamphétamine sont passées entre les mailles du filet».

Vous l’aurez compris, le petit garçon a bel et bien été prénommé méthamphétamine. Par chance, ses parents ont pu effectuer une modification auprès du registre officiel : «C'est un beau nom et je peux vous dire que cela n'a rien à voir avec les médicaments de classe A», a déclaré Kirsten Drysdal.

Source : Aufeminin

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Au sujet de l'auteur : Jenna Barabinot

Depuis 1 an et demi, je m’efforce de produire des articles de qualité tout en gardant ma touche d’humour. Mon domaine de prédilection ? Les histoires d’animaux qui se terminent en happy end. Je suis d’ailleurs incollable sur les races des chiens. Les sujets de société me passionnent et me permettent de perfectionner ma plume. J’affectionne aussi la rubrique « entertainment » car elle m’offre une parenthèse pailletée.