Et si le monstre du Loch Ness existait vraiment ? La chasse est relancée par des experts !

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L'homme adore les mythes et légendes, et ce depuis la nuit des temps. Parmi les plus célèbres, on peut aisément citer le monstre du Loch Ness qui occasionna de nombreuses recherches pendant des décennies. La plus élaborée d'entre elles vient de reprendre.

Ce n'est pas nouveau : l'Écosse a toujours raffolé des mythes entourant ses eaux profondes et ce depuis l'antiquité. Pour ce qui est du monstre du Loch Ness, les premiers récits d'une créature marine y vivant remonte à 565 après J.C,  c'est dire !

Plus qu'un bruit de couloir : une vraie légende

Traversant les siècles, la légende a pris de l'ampleur doucement, mais c'est surtout à l'époque contemporaine que la rumeur a explosé avec un iconique cliché, partagé en 1934 par le médecin anglais Robert Wilson.

Une photo qui a permis à "Nessie", le surnom du supposé monstre, de se faire connaître mondialement et de donner à l'économie locale un essor considérable grâce au tourisme. Le problème, c'est qu'il fut avoué que la photographie n'était qu'un simple montage. Qu'importe, la légende est plus forte (et remonte après tout à plus d'un millénaire) et de nombreuses recherches et études ont été menées. Beaucoup d'entre elles affirment qu'aucune créature marine ne réside dans le loch Ness, mais quelques passionnés subsistent. Un bon paquet, même.

Crédit image : Robert Wilson (1934)

Une nouvelle recherche ultra-élaborée

Hier a donc redémarré la chasse au monstre, directement sur place : celle-ci est menée par Paul Nixon, directeur général du Centre du Loch Ness, et se base sur une large équipe de bénévoles. "Je ne sais pas ce que c'est. Tout ce que je sais, c'est qu'il y a quelque chose d'énorme dans le Loch Ness. J'ai vu des images scanners d'objets de la taille d'un camion bougeant dans l'eau", allègue-t-il publiquement.

Pour faciliter leurs recherches, les "scientifiques" s'aident de matériels à la pointe : des scanners thermiques ou encore un hydrophone, permettant de détecter tous les cris inhabituels sous l'eau dans une profondeur de 240 mètres.

"Ce week-end nous apporte une occasion de fouiller les eaux d'une manière inédite, et nous sommes impatients de voir ce que nous allons trouver", déclare Nixon. Pour l'instant, les résultats n'ont pas encore été dévoilés.

Rappelons que ce n'est pas la première fois que des études "modernes" sont réalisées. La dernière remontant à 2018 avec une recherche ADN : hélas, les seules créatures relevées étaient des… anguilles.


Au sujet de l'auteur : Max C.

Journaliste