Décédée, elle lègue un million d'euros à une association de défense des animaux

Grande amoureuse de nos amis les bêtes, une femme, résidant en Bretagne, a décidé de léguer une grande partie de ses biens à une association qui s’occupe d’animaux, avant de s'éteindre.

C’était sa dernière volonté !

Décédée le 5 mai dernier, une femme a légué un million d’euros à une association de protection des animaux, rapportent plusieurs médias.

Avant de mourir, elle lègue un million d’euros à une association de protection des animaux

Cette Bretonne, qui résidait à Guidel (Morbihan), a ainsi fait don de sa propriété de 3,5 hectares, ainsi que deux assurances vie et l’ensemble de ses comptes bancaires à l’association Stéphane Lamart.

Basée à Boissy-Saint-Léger (Val-de-Marne), cette dernière lutte au quotidien pour la défense et la protection des droits des animaux.

Son fondateur a expliqué à nos confrères du Parisien que ce legs allait permettre notamment d’accueillir de nouveaux animaux, victimes de maltraitance.

La propriété sera ainsi transformée en refuge, précise Christophe Buseniers, le directeur général de l’association, interrogé par Ouest France.

L’organisme envisage également d’engager un couple de gardiens qui habiterait en permanence et gracieusement la maison de la défunte pour entretenir les lieux et gérer une équipe de bénévoles au service des animaux recueillis.

De son vivant la donatrice s’était déjà distinguée par sa générosité en accueillant sur son terrain une dizaine d’ânes saisis pour maltraitance.

Image d'illustration. Crédit photo : Istock

L’association Stéphane Lamart a par ailleurs indiqué que cette bienfaitrice a également fait don de 140 000 euros aux « Petites sœurs des pauvres » de Rennes.

Une âme généreuse qui avait le cœur sur la main !


author-avatar

Au sujet de l'auteur : Mathieu D'Hondt

Évoluant dans la presse web depuis l’époque où celle-ci n’en était encore qu’à ses balbutiements, Mathieu est un journaliste autodidacte et l’un de nos principaux rédacteurs. Naviguant entre les news généralistes et les contenus plus décalés, sa plume s’efforce d’innover dans la forme sans jamais sacrifier le fond. Au-delà de l’actualité, son travail s’intéresse autant à l’histoire qu’aux questions environnementales et témoigne d’une certaine sensibilité à la cause animale.