Attaqué par un animal sauvage, un homme a miraculeusement survécu grâce à un incroyable instinct de survie.
Il a vu sa vie défiler !
Violemment attaqué par un coyote, non loin de son domicile, un homme a survécu après avoir réussi à tuer l'animal à mains nues. Le miraculé a dû lutter pour sa survie pendant de longues minutes, avant de se dépêtrer de cette situation mal embarquée.
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À mains nues, il tue le coyote qui venait de l'attaquer
Les faits ont eu lieu le vendredi 16 mai dernier en Caroline du Nord, aux États-Unis. Ce jour-là, aux alentours de 19 heures, James Pulliam sort de chez lui pour fumer une cigarette. Sa maison, située dans un quartier paisible de la ville de Roxboro, jouxte une grande forêt qui abrite de nombreuses espèces sauvages. Comme tous les habitants du coin, James en est conscient, mais ce détail ne l'a jamais vraiment inquiété. À vrai dire, il n'a jamais croisé d'animaux venus des bois donc pourquoi s'en soucier.
Mais alors qu'il fume tranquillement sur le perron de sa maison, il se sent soudainement épié, comme si quelqu'un ou quelque chose le surveillait.
« J’avais juste l’impression qu’il me traquait ou quelque chose comme ça » (James Pulliam)
Suspicieux, il est brusquement envahi par un mauvais pressentiment et se met alors à regarder attentivement autour de lui. Mais à peine a-t-il le temps d'observer les environs qu'un coyote surgit de nulle part et l'attaque violemment. Par instinct de survie, grâce à un réflexe aussi improbable qu'étonnant, James parvient tant bien que mal à agripper l'animal puis le repousse, malgré les morsures.
« Il a sauté sur moi et je l’ai attrapé en l’air, il me mordait, et donc quand je l’ai jeté au sol et que j’essayais de m’écarter, il a continué à avancer » (James Pulliam)
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En dépit des jets de pierre et des coups de pieds répétés, le coyote n'abdique pas et mord la main gauche de James, sans la lâcher. N'écoutant que son courage, ce dernier, qui souffre alors le martyre, réussit à se libérer et, dans un geste plein de sang-froid, saisit le cou de l'animal qu'il va étrangler pendant de longues minutes jusqu'à ce que mort s'ensuive.
James a bien cru mourir, mais il faut croire que son heure n'était pas encore arrivée.
« J’ai dû lui arracher la main gauche de la bouche, et quand j’ai réussi à la sortir, je l’ai étranglé jusqu’à l’arrivée de la police (...) J’avais peur, ne vous méprenez pas, mais c’était lui ou moi » (James Pulliam)
Hospitalisé en urgence pour ses blessures, James - qui a reçu un vaccin contre la rage - est aujourd'hui tiré d'affaires.