Trashtag Challenge, enfin un défi utile sur les réseaux sociaux en faveur de l'environnement

Coup de projecteur aujourd'hui sur le #Trashtag Challenge, enfin un défi utile sur les réseaux sociaux !

On a trop souvent dénigré les défis stupides - voire dangereux comme le Momo Challenge - qui ont pullulé sur les réseaux sociaux ces dernières années pour ne pas apprécier celui-ci à sa juste valeur.

(Re)lancé au début du mois, le #Trashtag Challenge est actuellement en train de faire des émules sur Twitter mais aussi Facebook, et on ne peut que s’en réjouir.

Le principe est simple : repérer un endroit où la nature est souillée par des déchets puis le nettoyer avant de publier deux photos qui montrent l’évolution sur le modèle « avant-après».

Existant depuis quelques temps déjà, ce hashtag a en réalité été remis au goût du jour par un certain Byron Román, qui a publié le 5 mars dernier sur Facebook une photo d’une plage entièrement nettoyée, encourageant les jeunes du monde entier à en faire de même. Une publication très vite devenue virale.

Il n’en fallait pas plus pour motiver les internautes qui ont vu dans ce tout nouveau challenge l’occasion de faire une bonne action de manière ludique.

Et le succès fut immédiat puisque des centaines d’entre eux se sont prêtés au jeu en se retroussant les manches afin de nettoyer des zones jusqu’alors polluées par les déchets et autres ordures.

Et le résultat est impeccable comme en attestent les clichés ci-dessous.

Alors, si le sort de la planète vous préoccupe, ne réfléchissez plus, rejoignez le mouvement !

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Source : Ladbible

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Au sujet de l'auteur : Mathieu D'Hondt

Évoluant dans la presse web depuis l’époque où celle-ci n’en était encore qu’à ses balbutiements, Mathieu est un journaliste autodidacte et l’un de nos principaux rédacteurs. Naviguant entre les news généralistes et les contenus plus décalés, sa plume s’efforce d’innover dans la forme sans jamais sacrifier le fond. Au-delà de l’actualité, son travail s’intéresse autant à l’histoire qu’aux questions environnementales et témoigne d’une certaine sensibilité à la cause animale.