Un homme a récemment fait part de sa détresse après s'être aperçu que le logement qu'il venait d'acheter n'était pas celui qu'il croyait.
Acheter une maison, c'est toujours un gros changement et un épisode marquant dans une vie, surtout lorsqu'il s'agit de la première.
Un tel achat ne doit en effet pas être pris à la légère car il vous engage généralement sur plusieurs années. Mieux vaut donc être prévoyant et savoir exactement où l'on met les pieds sous peine de vivre de très grosses désillusions.
Et cela commence dès les visites car certains vendeurs ne sont pas toujours honnêtes et n'hésitent pas à omettre volontairement des détails et autres vices cachés qui pourraient transformer votre achat de rêve en un véritable cauchemar.
Achetée il y a un mois, sa maison est inhabitable à cause d'un... champignon dévastateur
Un certain Rodolphe vient d'en faire la terrible expérience après avoir découvert que la maison, qu'il venait d'acheter, était envahie par la mérule, un champignon destructeur.
Installé depuis un an dans le Cantal, où il a été muté, ce fonctionnaire de 41 ans vit ainsi un vrai calvaire, comme il l'a confié devant les caméras de TF1.
Achetée 205 000 euros fin 2022, la bâtisse est aujourd'hui inhabitable car la mérule - qui se nourrit de bois et peut traverser les murs - s'est « répandue partout », sous le sol du salon, dont le plancher menace de s'effondrer à tout moment.
Crédit photo : capture d'écran TF1
La source du problème provient du vide sanitaire, une petite pièce située sous le séjour et qui est accessible par une trappe. Un endroit parfait pour la mérule, qui a besoin d'obscurité, de confinement de basses températures ou encore d'humidité pour se développer. S'il existe bien un traitement efficace contre ce champignon, celui-ci a un coût et il « est faramineux » puisque les travaux s'élèvent à 160 000 euros, « soit plus des trois quarts du montant déjà dépensé » par Rodolphe pour acheter sa maison.
Image d'illustration. Crédit photo : IStock
L'ancienne propriétaire n'avait bien sûr pas informé le quadragénaire de ce vice caché. Était-elle au courant ? C'est possible mais une chose est sûre, un diagnostiqueur certifié est bel et bien venu inspecter les lieux quelques semaines avant la vente, mais il n'a pas visité la fameuse pièce de la discorde, sous le salon. Pour quelle raison ? Nul ne le sait !
Aujourd’hui, Rodolphe - qui ressent de « la colère » et « du dégoût », a décidé de porter plainte contre l’ancienne propriétaire pour vice caché et espère récupérer son argent.
C'est tout le mal qu'on lui souhaite !