Misha Agrawal, une influenceuse beauté indienne a mis fin à ses jours à la veille de ses 25 ans pour une raison tragique.
Un drame terrible. Misha Agrawal, une influenceuse originaire d’Inde âgée de 24 ans, est morte dans des conditions tragiques, le 24 avril dernier.
La créatrice de contenu spécialisée beauté s’est suicidée deux jours avant son 25ème anniversaire.
Selon ses proches, la jeune femme a décidé de s’ôter la vie car elle n’arrivait pas à atteindre le million d’abonnés sur son compte Instagram. Avant sa mort, cette dernière était suivie par 359 000 abonnés sur Ie réseau social. Un nombre jugé insuffisant par la défunte.
Crédit Photo : Capture d'écran Instagram
« C’est avec le cœur lourd que nous vous annonçons le décès de notre fondatrice Misha Agrawal. Elle a bâti MishCosmetics.in et Mish Hair Oil avec amour, passion et le rêve pour changer les choses », a indiqué sa grande sœur dans un réel posté sur Instagram.
Avant d’ajouter :
« Ma petite sœur avait construit son monde autour d’Instagram et de ses abonnés, avec un seul objectif : atteindre 1 million d’abonnés et gagner des fans. Lorsque ses abonnés ont commencé à diminuer, elle était profondément déprimée (…), à tel point qu’elle s’est suicidée, laissant notre famille dévastée ».
Crédit Photo : Capture d'écran Instagram
« Elle était profondément déprimée »
Misha Agrawal avait gagné en popularité en 2023. À l’époque, l’influenceuse indienne avait documenté sa perte de cheveux.
Il y a un mois, la vingtenaire a opéré un changement de comportement à cause de la perte de ses followers.
« Depuis avril,elle était profondément déprimée, me serrant souvent dans ses bras et pleurant, en me disant :''Que vais-je faire si mes abonnés diminuent ? Ma carrière sera terminée’’ » a expliqué la grande sœur de la défunte. J’ai essayé de la consoler en lui expliquant que ce n’était pas tout son univers, que ce n’était qu’un travail d’appoint et que si ça ne marchait pas, ce n’était pas la fin ».
Crédit Photo : Capture d'écran Instagram
La créatrice de contenu décédée était titulaire d’un diplôme en droit. Elle suivait aussi des études pour devenir juge.
« Je lui ai conseillé de voir Instagram comme un simple divertissement et de ne pas le laisser la consumer (…) Malheureusement, ma petite sœur n’a pas écouté », a conclu l’auteure du message.