« Les Égyptiens avaient l'électricité dès l'Antiquité »: Gims sort un nouveau morceau pour répondre à la polémique

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Il y a quelques jours, le chanteur Gims s’est attiré les moqueries des réseaux sociaux après avoir affirmé que les Égyptiens avaient accès à l’électricité dans l’Antiquité. Il a décidé de répondre à la polémique en sortant un nouveau…morceau.

Souvenez-vous ! Il y a une semaine, un extrait de l’émission «OuiHustle» mettant en vedette le chanteur Gims est devenu viral sur les réseaux sociaux. La raison ? Dans la vidéo, le rappeur affirme que les Égyptiens avaient accès à l’électricité dans l’Antiquité grâce aux pyramides.

Mais ce n’est pas tout ! L’ex-leader de la Sexion d'Assaut a également déclaré que l’Afrique avait peuplé l'Europe avant les Européens : «on les appelait les “Afropéens”».

Depuis, l’interprète de «Bella» est accusé de réécrire l’Histoire et de véhiculer des théories complotistes. Sans réelle surprise, le grand frère de Dadju s’est attiré une avalanche de moqueries sur le net.

Et le moins que l’on puisse dire, c’est que Gims est un brin susceptible. En effet, ce dernier a décidé de répondre à la polémique en chanson.

Gims sort un nouveau single pour répondre à la polémique

Dans son nouveau morceau, intitulé Hernan Cortès (en référence au conquistador espagnol), l’artiste âgé de 36 ans estime que ses propos ont été mal interprétés :

«Sous le feu des projecteurs, j’laisse des traces comme une erreur. J’dis plus rien, vous aimez trop sortir mes mots de leur contexte. J’arrive, mal intentionné comme Hernan Cortez», rappe-t-il.

Avant d’ajouter : «La vérité : tout l’monde a son propre discours, si ça se trouve j’ai fait un putain de détour».

À la fin du single, disponible depuis jeudi soir, Gims n’a pas hésité à insérer des commentaires de journalistes ou d’historiens qui critiquent le chanteur : « Gims qui, il faut bien le dire, a plus ou moins dérapé», ou encore «Sur un dérapage complotiste d’une personnalité et pas n’importe laquelle, c’est Gims».

Source : TF1

Au sujet de l'auteur : Céline Gautier

Journaliste