Cette célèbre ville bretonne n'a connu que... 12 minutes de soleil début février

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Le mois de février a démarré de manière maussade dans une célèbre ville bretonne, où les habitants ont toutes les raisons de déprimer. Voici pourquoi.

C'est une bien triste statistique qui donnera, à n'en pas douter, du grain à moudre à toutes celles et ceux affirmant (à tort ?) qu'il fait toujours moche en Bretagne.

La ville de Brest (Finistère) vient de connaître un début de mois de février déprimant.

La faute au soleil qui semble avoir déserté les lieux.

Crédit photo : iStock

Seulement 12 minutes d'ensoleillement à Brest

Ainsi entre le jeudi 1er et le jeudi 8, la métropole bretonne n'a connu que... 12 minutes d'ensoleillement, a indiqué le météorologue Sébastien Décaud dans une publication X (anciennement Twitter) qui a beaucoup fait réagir les internautes, à commencer par les Bretons eux-mêmes, lesquels ont pris la nouvelle non sans un certain humour.

La ville de Brest devance Lorient (30 minutes), Rennes (36 minutes), Vannes et Quimper (48 minutes), a précisé le présentateur de Météo Bretagne. « Ça commence à être long », a-t-il par ailleurs commenté avec ironie.

Crédit photo : @SebDecauc / Capture d'écran Twitter

Après cette première semaine de février pour le moins morose, les Brestois·e ont finalement pu profiter d'un peu de soleil grâce au passage de la dépression Karlotta - ayant entraîné des rafales de vents de 70 km/h à 80 km/h - qui a chassé les nuages encombrants pour laisser place à de belles éclaircies, le week-end dernier.

Et comme une bonne nouvelle n'arrive jamais seule, notez que cette embellie se poursuivra aujourd'hui car selon le site MétéoBlue, Brest devrait connaître plus de 5 heures d'ensoleillement ce lundi, soit presque la moitié du taux enregistré début février.

Que les Brestois et les Brestoises en profitent car le mauvais temps et son cortège de nuages devraient, hélas, faire leur retour dès demain.


Au sujet de l'auteur : Mathieu D'Hondt

Évoluant dans la presse web depuis l’époque où celle-ci n’en était encore qu’à ses balbutiements, Mathieu est un journaliste autodidacte et l’un de nos principaux rédacteurs. Naviguant entre les news généralistes et les contenus plus décalés, sa plume s’efforce d’innover dans la forme sans jamais sacrifier le fond. Au-delà de l’actualité, son travail s’intéresse autant à l’histoire qu’aux questions environnementales et témoigne d’une certaine sensibilité à la cause animale.