Des joueurs terrifiés en découvrant un trou sur leur crâne, créé par leur casque audio

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Sur Twitch, le streamer Curtoss s’est récemment rasé la tête pour soutenir les personnes atteintes de cancer. Une fois chauve, le gameur a remarqué que son casque audio lui avait laissé une énorme marque sur le crâne.

Le 3 juin dernier, le streamer Curtoss a lancé une diffusion caritative sur Twitch pour soutenir la Leukemia & Lymphoma Society. Pour apporter son soutien aux personnes atteintes de cancer, le gamer a décidé de se raser la tête. Cependant, tout ne s’est pas passé comme prévu.

Une fois chauve, Curtoss a remarqué qu’il avait une énorme marque sur le crâne, à l’endroit où reposait son casque audio. Manifestement, les nombreuses heures passées avec son casque sur la tête auraient créé une sorte de renfoncement dans son crâne. Cette marque a attiré l’attention de nombreux spectateurs, anxieux.

“C’est là que vont mes écouteurs ! J’ai une empreinte de casque sur la tête ! Qu’est-ce que c’est ? J’ai toujours pensé que c’était juste mes cheveux”, s’est écrié le streamer.

Une marque causée par le port du casque

Inquiets, d’autres joueurs ont également remarqué qu’ils portaient la même marque, ce qui prouve que ce phénomène est plus répandu qu’on ne le croit. Cependant, cette inquiétude n’est pas nouvelle car il existe plusieurs discussions Reddit sur le sujet qui datent de plusieurs années.

Que les streamers se rassurent : il est très peu probable que le port prolongé d’un casque audio modifie la forme du crâne. Selon une étude, il faudrait une pression de 134 kg sur la tête pour pouvoir déformer et endommager le crâne humain.

La marque qui apparaît sur ces streamers est causée par la pression du casque sur les tissus adipeux mous du crâne et pourrait disparaître avec un massage, en desserrant le casque et en le portant moins longtemps. Si cette marque semble donc inoffensive, le danger réside plutôt dans le volume sonore. S’il est trop fort, celui-ci pourrait endommager l’audition d’une manière irréversible.

Source : Kotaku

Au sujet de l'auteur : Céline Gautier

Journaliste