Un groupe de pêcheurs parvient à remonter un maigre de 52,5 kg après 30 mn de combat, dans le bassin d'Arcachon

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Un poisson de plus de 50 kg a récemment été pêché en Gironde.

Chaque pêcheur le sait, il arrive un jour où tout se déroule à la perfection lorsque l’on lance sa canne.

Un alignement des planètes qui donne généralement lieu à des prises spectaculaires et inoubliables.

Un groupe de pêcheurs du bassin d’Arcachon vient d’en faire l’agréable expérience en parvenant à remonter un maigre d’une taille de 1,75 mètre pour un poids de 52,5 kilos, rapportent nos confrères de Sud Ouest.

Crédit photo : Stéphane Mottet

Ils pêchent un maigre de 1,75 m et 52,5 kg dans le bassin d’Arcachon

Accompagné de son père et d’un ami, Victor Mottet, un étudiant en école d’ingénieurs de 22 ans, a ainsi vécu une journée parfaite en pêchant ce gros poisson, parfois surnommé « grogneur », que l’on retrouve dans les eaux de la Méditerranée et de l’océan Atlantique.

Il faut dire que toutes les conditions étaient réunies pour une telle prise car le temps était idéal et le coefficient de marée parfait.

« Le combat a duré plus d’une demi-heure. On voulait aller au thon et on a finalement cherché le maigre. J’ai déjà pêché des poissons de plus d’un mètre, mais un comme ça, jamais ! », raconte Victor dans les colonnes de Sud Ouest.

Crédit photo : Victor Mottet

Crédit photo : Stéphane Mottet

Seul petit bémol, cette prise impressionnante n'a pu être officialisée car le trio de pêcheurs ignorait les règles en vigueur.

« Nous ne connaissions pas les conditions pour faire homologuer le poisson mais celui-ci aurait pu être un record de France à la ligne. », explique ainsi Victor au média local.

Qu'importe, pour lui l'essentiel était ailleurs !

Source : Sud Ouest

Au sujet de l'auteur : Mathieu D'Hondt

Évoluant dans la presse web depuis l’époque où celle-ci n’en était encore qu’à ses balbutiements, Mathieu est un journaliste autodidacte et l’un de nos principaux rédacteurs. Naviguant entre les news généralistes et les contenus plus décalés, sa plume s’efforce d’innover dans la forme sans jamais sacrifier le fond. Au-delà de l’actualité, son travail s’intéresse autant à l’histoire qu’aux questions environnementales et témoigne d’une certaine sensibilité à la cause animale.