À 17 ans, ce lycéen gagne un salaire à 5 chiffres grâce à son activité secondaire très lucrative

Un lycéen américain de 17 ans a décidé de créer une entreprise pour avoir de l’argent de poche. Il dégage aujourd’hui des revenus à cinq chiffres.

Du haut de ses 17 ans, Michael Satterlee a déjà le sens des affaires. Et pour cause : ce lycéen américain est un entrepreneur qui réussit.

Cet étudiant originaire d’Albany, dans l’État de New York, termine actuellement sa dernière année de lycée. En parallèle, ce dernier dirige une entreprise florissante, rapporte le Daily Mail.

Dans un entretien accordé à Absolutely Business, Michael revient sur son parcours. Tout a commencé lorsque le jeune homme a commencé par vendre à ses camarades des étuis de calculatrice imprimés en 3D.

Michael SatterleeCrédit Photo : Jam Press

Une fois le succès au rendez-vous, il a démarré un autre business avant de lancer sa propre entreprise, SoleFully.

Dans le détail, Michael vend des accessoires pour chaussures, comme des breloques amusantes et des fixations décalées. Le moins que l’on puisse dire, c’est que ces articles humoristiques lui rapportent gros.

En effet, le jeune chef d’entreprise réalise un chiffre d’affaires d’environ 20 000 dollars par mois, soit près 17  660 euros.

Michael Satterlee dans son entrepôt Crédit Photo : Jam Press

Des journées très productives

Alors que les affaires fonctionnent bien, Michael « garde les pieds sur terre » et explique que la réussite n’est pas survenue « du jour au lendemain », et qu’il lui a fallu « beaucoup d’essais et d’erreurs » pour « trouver le bon produit et la bonne façon de le commercialiser ».

Une chose est sûre : les journées du jeune homme sont très chargées. Selon ses dires, il fait en sorte d’adapter son travail à ses cours en se rendant dans son entrepôt à 5 heures du matin et en travaillant pendant trois heures avant d’aller à l’école.

Michael Satterlee dans son entrepôtCrédit Photo : Jam Press

Après avoir terminé son dernier cours vers 13 heures, il retourne à l’entrepôt et travaille jusqu'à 20 heures.

« À la fin de la journée, je me concentre sur l'apprentissage, la croissance et l'amélioration de mon entreprise », explique-t-il.

Il ajoute :

« Le week-end, je travaille généralement 13 heures par jour. Je fais très peu de pauses, mais je garde du temps pour ma famille, car c'est ce qui compte le plus pour moi. Souvent, pour concilier l'école et le travail, je réduis mes heures de sommeil (…) ».

Capture d'écran SoleFullyCrédit Photo : Capture d'écranSoleFully

Un processus difficile

Michael fait aussi preuve d’une grande rigueur dans ses dépenses. Il raconte :

« La plupart de mes revenus sont réinvestis dans l'entreprise : achat d'imprimantes supplémentaires, mise à niveau de l'équipement et amélioration des opérations. J'économise également une bonne partie de mes revenus et je reste discret sur mes dépenses personnelles ».

Fort de son succès, l’entrepreneur a constitué une petite équipe pour l’épauler. Certains de ses employés sont des amis, tandis que d’autres ont été recrutés par des professionnels au fur et à mesure que l’entreprise prenait de l’ampleur.

Michael Satterlee devant son entrepôt Crédit Photo : Jam Press

S’intéressant aux jeunes gens qui souhaitent suivre ses traces, le jeune homme recommande de « travailler dur et d’avancer pas à pas ».

« Le processus sera difficile et prendra beaucoup de temps, mais si c’était facile, tout le monde le ferait », souligne le principal concerné.

Alors que la fin de l’année scolaire approche à grands pas, Michael hésite entre continuer ses études à l'université ou quitter l'école pour se consacrer à plein temps à son entreprise 

Source : Daily Mail
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Au sujet de l'auteur :

Depuis 1 an et demi, je m’efforce de produire des articles de qualité tout en gardant ma touche d’humour. Mon domaine de prédilection ? Les histoires d’animaux qui se terminent en happy end. Je suis d’ailleurs incollable sur les races des chiens. Les sujets de société me passionnent et me permettent de perfectionner ma plume. J’affectionne aussi la rubrique « entertainment » car elle m’offre une parenthèse pailletée.