Ju Isen, une influenceuse brésilienne, ne jure que par la première classe en avion, et ce, pour une raison étonnante.
Son nom ne vous dit peut être rien, mais Ju Isen est une mannequin et influenceuse à succès brésilienne, suivie par 2,5 millions de followers sur Instagram.
Récemment, cette femme de 39 ans a dévoilé une étonnante habitude qu’elle a prise lorsqu’elle voyage.
Crédit Photo : Ju Isen / Instagram
Selon ses dires, elle est tellement attirante qu'elle ne peut plus voler en classe économique ou en classe affaires car les hommes n'arrêtent pas de la regarder.
Résultat : elle n’a pas d’autre choix que de voyager en première classe pour éviter ce désagrément. Le moins que l’on puisse dire, c’est que sa tranquillité a un coût élevé.
Crédit Photo : Ju Isen / Instagram
« Je préfère payer cher et voyager en paix »
En effet, la trentenaire, qui gagne sa vie grâce à sa beauté, débourse en moyenne la coquette somme de 12 000 euros pour se procurer des billets en première classe.
« Tout cela pour éviter de se faire draguer par des inconnus pendant les vols. En classe économique, le harcèlement est un bonus. Je préfère payer cher et voyager en paix », explique la Brésilienne auprès de NeedtoKnow.
Crédit Photo : Ju Isen / Instagram
Elle ajoute :
« Des hommes ont essayé de me draguer alors que j’étais à moitié endormie, m’ont demandé si j’étais célibataire ou m’ont proposé de m’offrir un verre en plein vol. Je ne suis pas là pour amuser qui que ce soit ».
Ju Isen assure que sa décision lui a changé la vie. Toujours selon ses dires, certaines personnes lui reprochent de dépenser trop d’argent.
Pour la créatrice de contenu, il s’agit d'un investissement assurant sa sécurité et son espace personnel. Comme elle le précise, sa liberté « vaut chaque centime dépensé ».
Crédit Photo : Ju Isen / Instagram
En plus de choisir des vols de luxe pour sa tranquillité, la starlette a développé une autre technique pour se tenir éloignée de la gent masculine : elle a pris l’habitude de porter une fausse bague de fiançailles dans les lieux publics.
« Ce n'est pas une question de peur, c'est une question d'épuisement. C'est une façon symbolique de dire : ''Je ne suis pas disponible pour ce genre d'approche'' », conclut la mannequin.
