Selon une récente étude, une habitude met à mal les relations sexuelles des couples. On vous en dit plus.
Alerte générale : la population fait moins l’amour et c’est la science qui le dit ! Selon une étude menée par l'Université de Manchester, les relations sexuelles seraient en chute libre. C’est triste, oui ! On vous l’accorde, mais les raisons de cette baisse le sont encore plus...
Crédit : IStock
La chute de la sexualité
Dans cette étude publiée en février 2025, on apprend notamment que la sexualité est devenue une pression pour certains partenaires :
“Notre recherche souligne que l'accent culturel largement répandu sur l'orgasme comme le summum du sexe, qui peut créer une pression et une détresse inutiles lorsque l'orgasme ne se produit pas, est réducteur”, indiquait Alexandra Janssen, auteure de l’étude.
Pourtant, l’orgasme n’est pas toujours une finalité et ne devrait pas être une frustration :
“Nos résultats offrent un message puissant : il est normal et acceptable que l'orgasme ne se produise pas à chaque fois, et cela pourrait même être une bonne chose”, révèle le rapport.
Même si certaines personnes voient évoluer leur sexualité, d’autres, préfèrent y mettre un terme, aux dépens d’une autre pratique : le doomscrolling. Cette pratique consiste à faire défiler ou à “scroller” les actualités et contenus en tous genres sur les réseaux sociaux. Oui, vous avez bien lu.
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Le doomscrolling : la mort du couple ?
Selon une étude OnePlus, un britannique sur dix a admis qu'il préférait “faire défiler les contenus de son téléphone plutôt que d'avoir des relations sexuelles.” Pourtant, les statistiques sont formelles : utiliser son téléphone avant de se coucher augmente les risques d’insomnie de 59 % et perturbe le cycle de sommeil. En plus, cela influence la libido : la preuve !
En témoigne cette récente étude, le téléphone est le nouvel ennemi de couple. Les risques ? Faire baisser non seulement la qualité du sommeil, mais aussi l’intimité au sein de son couple, sans oublier - à une plus grande échelle - les taux de natalité. Et si on lâchait enfin les écrans ?