Il gagne 620 000 dollars pour être... la mascotte de cette équipe de la NBA !

Bouton whatsapp

Être une mascotte, au sens propre, est un métier plus que privilégié dans certaines situations. Dans l'industrie du sport, on retrouve ainsi de nombreux comédiens enveloppés dans leur personnage de fiction et figurez-vous que dans le cas des Denver Nuggets, la mascotte touche des mille et des cents.

Peut-être avez-vous déjà fait un job d'été où vous deviez enfiler un large costume pour promouvoir des pizzas (étant vous-même habillé en part de pepperoni), ou sans doute avez-vous déjà vu un homme-sandwich jongler avec des pancartes pour faire la publicité d'un magasin ou d'un autre.

La victoire des Nuggets Denver

Un travail plus fatiguant qu'il en a l'air et aux États-Unis, on a aussi le sens de la démesure, même pour ce qui est d'employer une mascotte. En revanche, il n'est pas ici question d'un petit stand de hot-dog indépendant, mais d'une grosse équipe de basketball : les Denver Nuggets.

Basée à Denver (pas de surprise de côté-là), les Denver Nuggets sont une équipe assez prisée de la NBA. Pour ainsi dire, ils ont disputé hier leur première finale NBA contre Miami Heat, qu'ils ont d'ailleurs gagné !

Une mascotte qui rapporte (et qui coûte)

L'occasion parfaite pour la mascotte de célébrer tout cela à grands coups de danse et de chauffe du public : figurez-vous que la personne à l'intérieur de ce costume aussi coloré que rembourré gagnerait… 625 000 dollars par an pour occuper ce rôle très précis. Sur une base mensuelle, nous sommes donc sur du salaire à 52 000 dollars, rien que ça.

Cette mascotte a d'ailleurs un nom : elle s'appelle Rocky et fait, en quelque sorte, partie du panthéon de son domaine, ayant même été introduite au Hall of Fame des mascottes en 2006. C'est d'ailleurs un véritable athlète et basketball qui se trouve à l'intérieur, puisque certains spectacles le poussent à des dunks vertigineux devant des millions de spectateurs chauds comme la braise. Rien que ça.

Source : Hoops Addict

Au sujet de l'auteur : Max C.

Journaliste