Des peluches de koalas dans les rues de New York afin d'encourager les dons pour l'Australie

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Les habitants de New York ont récemment eu la surprise de découvrir des peluches dans les rues de la ville. Une opération lancée pour la bonne cause. Explications.

Depuis le début des terribles incendies qui touchent actuellement l’Australie, le monde ne cache pas son émotion et a les yeux rivés sur le pays, dans l’attente d’une amélioration de la situation.

Une inquiétude qui se traduit par une solidarité remarquable ! Ainsi, de nombreux dons affluent des quatre coins du globe, notamment pour aider les associations qui essaient tant bien que mal de sauver les animaux les plus vulnérables.

Et pour encourager à donner, certains ont parfois des idées assez surprenantes mais qui valent le coup d’œil.

C’est notamment le cas de l’agence new-yorkaise Cummins & Partners, directement touchée par la catastrophe puisque la moitié de ses employés sont australiens.

Pour inciter le plus grand nombre aux donc, l’entreprise a ainsi décidé d’installer des peluches de koalas dans les rues de la grosse pomme.

À l’intérieur de ces adorables « doudous », les plus curieux trouveront une étiquette contenant un code permettant de faire un don à l’association WIRES, spécialisée dans les œuvres de charité et les sauvetages animaliers.

Depuis le début de cette campagne, baptisée « Koalas of NYC », des dizaines de milliers de dollars ont d’ores et déjà été récoltés, sans compter les très nombreux messages de soutiens.

Une superbe initiative !

Crédit photo : Koalas of NYC

Crédit photo : Koalas of NYC

Crédit photo : Koalas of NYC

Crédit photo : Koalas of NYC

Crédit photo : Koalas of NYC

Source : Koalas of NYC

Au sujet de l'auteur : Mathieu D'Hondt

Évoluant dans la presse web depuis l’époque où celle-ci n’en était encore qu’à ses balbutiements, Mathieu est un journaliste autodidacte et l’un de nos principaux rédacteurs. Naviguant entre les news généralistes et les contenus plus décalés, sa plume s’efforce d’innover dans la forme sans jamais sacrifier le fond. Au-delà de l’actualité, son travail s’intéresse autant à l’histoire qu’aux questions environnementales et témoigne d’une certaine sensibilité à la cause animale.