La soirée dérape : Ivre, il se dispute avec son ami et le tue avec un... katana

La semaine dernière, en Bretagne, une soirée alcoolisée entre amis s’est transformée en bain de sang.

Une scène surréaliste. Les faits se sont produits dans la soirée du vendredi 10 octobre à Meillac, une ville bretonne située dans le département d’Ille-et-Vilaine, rapporte Ouest France.

Que s’est-il passé ? Ce soir-là, deux amis âgés d’une quarantaine d’années se sont réunis pour faire la fête.

Un verre contenant de l'alcool renversé sur une tableCrédit Photo : iStock

Selon les informations du quotidien régional, les deux individus ont enchaîné les verres d’alcool.

L’ambiance festive a pris une tournure dramatique après qu’une dispute a éclaté entre les deux hommes. 

Il sort un sabre et attaque son ami

Aux alentours de 21 heures, l’un d’entre eux a sorti un sabre japonais et a assené plusieurs coups à son compère. Blessé au niveau de l’abdomen, celui-ci s’est écroulé en sang, détaillent nos confrères.

Face à cette situation, l’auteur des faits a aussitôt contacté les secours, qui se sont rendus sur place. La victime a été prise en charge par le SAMU d’Ille-et-Vilaine.

Toujours selon Ouest France, l’homme poignardé est décédé des suites de ses blessures au CHU de Rennes.

AmbulandeCrédit Photo : iStock

De son côté, le propriétaire du katana a été interpellé avant d’être placé en garde à vue par les gendarmes.

Une enquête a été ouverte pour homicide volontaire, a indiqué le procureur de Saint-Malo, Fabrice Trémel, à Ici Armorique.

Selon le média, l’enquête est désormais entre les mains de la brigade de recherches de gendarmerie de Saint-Malo. Les investigations permettront d’en savoir plus sur les circonstances de ce drame.

Gendarmerie nationaleCrédit Photo : iStock

En France, le katana est classé arme blanche de catégorie D. En d’autres termes, cela signifie que cette lame japonaise peut être achetée et détenue librement par une personne majeure. En revanche, « avoir sur soi le katana sans autorisation est une infraction pénale passible d'un an d'emprisonnement et d'une amende s'élevant à 15 000 euros », souligne le site spécialisé Maître Coutelier.

Source : Ouest France

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Au sujet de l'auteur :

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