Une Américaine pensait avoir ramassé un beau coquillage sur une plage japonaise, mais il s’agissait en réalité d’une créature mortelle.
Une balade qui aurait pu tourner au drame. Cette mésaventure est arrivée à Beckylee Rawls, une Américaine de 29 ans qui vit sur l’île d’Okinawa (Japon) avec son époux.
Il y a quelques jours, le couple s’est rendu sur une plage pour observer les mares résiduelles.
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Au cours de la promenade, Beckylee a remarqué un magnifique coquillage à moitié enterré dans le sable humide. Intriguée, cette dernière a décidé de le ramasser pour l’observer de plus près.
Selon ses dires, Beckylee envisageait de ramener le coquillage. Mais elle a remarqué qu’il était encore vivant.
Celle qui travaille comme cheffe de projet a alors photographié la coquille, avant de faire une recherche d’image inversée sur Google dans l’espoir de l’identifier.
@beckyleeinoki ⚠️ Last time I ever pick up a cone shell barehanded…storytime coming #conesnail #shelling #oceanlife #venomous #beachcombing ♬ DIM - Yves
Elle ramasse un coquillage mortel sans le savoir
Le moins que l’on puisse dire, c’est que le vacancier a échappé de peu à un danger mortel, et pour cause : la promeneuse a ramassé un cône textile.
Doté d’un venin très puissant, cet escargot marin à l'apparence inoffensive est capable de tuer un humain en moins de trois heures.
Certaines espèces possèdent suffisamment de venin pour tuer plusieurs personnes, et il n'existe aucun antidote connu. Par miracle, la jeune femme n'a pas été piquée.
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Une fois remise de ses émotions, Beckylee partagé son expérience sur sa page TikTok. À sa plus grande surprise, la vidéo est devenue virale. Elle a en effet récolté plus de 24 millions de vues et des milliers de commentaires.
« C’était fou. Je ne m’attendais pas à ce que ça fasse autant de bruit (…) », se souvient l’auteure du post.
Crédit Photo : Capture d'écran TikTok
Sous la publication, des utilisateurs estiment que ce dernier a eu beaucoup de chance.
« J'ai toujours aimé l'océan, donc cela ne va pas m'empêcher d'en profiter, mais cela me fait vraiment comprendre l'importance de traiter ce qui m'est inconnu avec beaucoup plus de respect et de distance », a conclu l’Américaine.