Ivre, il conduit 600 km avec une bouteille de pastis entre les jambes et son fils de 9 ans à l'arrière

À Nantes, un automobiliste a été arrêté complètement ivre par la police. Il venait de parcourir 600 km dans cet état avec son fils à l’arrière.

Un geste inconscient et dangereux.

Lundi 18 août, un automobiliste de 36 ans a fait l’objet d’un contrôle routier à Rezé (Loire-Atlantique).

Le conducteur venait de parcourir 600 kilomètres depuis la ville de Toulouse lorsqu’il a été intercepté par la brigade motorisée du commissariat de Nantes, rapporte Ouest France.

Jusqu’ici rien d’anormal, sauf que le trentenaire a roulé dans un état d'ébriété avancé.

Policier à motoCrédit Photo : Shutterstock 

Alcoolisé, il conduit avec son fils à l’arrière

En fouillant son véhicule, les forces de l’ordre ont trouvé une bouteille de pastis. Celle-ci était calée entre les jambes du chauffard.

Ce n’est pas tout. Le chauffard a effectué ce trajet avec son fils installé à l’arrière de la voiture.

Un petit garçon pensif dans une voitureCrédit Photo : iStock

Sans réelle surprise, le père de famille n’a pas eu d’autre choix que de faire un test d'alcoolémie. Résultat : il affichait un taux impressionnant de de 3,4 grammes d’alcool par litre de sang.

Comme le précise Sécurité Routière, « le taux d’alcool limite autorisé est de 0,5 g d’alcool par litre de sang soit 0,25 mg d’alcool par litre d’air expiré ».

Face à cette situation, l’homme a été placé en garde à vue pour « conduite en état d’ivresse et mise en danger d’autrui ». De son côté, le petit garçon a été remis à sa mère.

Un conducteur en train de passer un test d'alcoolémie Crédit Photo : iStock

À la suite de son interpellation, l’automobiliste s’est vu immédiatement retirer son permis. Enfin, il a reçu une convocation à une ordonnance pénale, a indiqué le procureur de la République de Nantes dans les colonnes du Figaro.

En France, conduire avec un taux d’alcool égal ou supérieur à 0,8 g/l de sang est un délit. Une infraction punie d’une contravention pouvant aller jusqu’à 9000 euros et d'une peine de trois ans de prison maximum.

Source : Le Figaro
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