Lana Madison, une influenceuse de 29 ans, exerce une profession surprenante : elle démasque les petits amis infidèles. Une activité qui lui rapporte beaucoup d’argent.
Lana Madison utilise sa plastique pour piéger les petits amis infidèles.
Cette influenceuse OnlyFans de 29 ans, qui comptabilise 76 000 abonnés sur les réseaux sociaux, est devenue une véritable référence en la matière.
Dans le détail, la jeune femme aide ses paires à démasquer leurs compagnons déloyaux, rapporte le New York Post.
« Elles m’envoient des messages et me demandent de flirter avec leurs partenaire respectifs pour savoir s’ils vont les tromper », a confié la jolie blonde à Jam Press.
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Selon ses dires, la plupart de ses cibles succombent à ses charmes.
« Spoiler alert : beaucoup d'entre eux le font. Je n'avais pas prévu de devenir un véritable piège à hommes. Mais lorsque quelques filles en ligne ont vu à quoi je ressemblais et ce que je faisais dans la vie, elles ont réalisé que j'étais la tentation ultime ».
Ella a ajouté :
« Si votre homme résiste à mes avances, c'est qu'il est fidèle. Sinon, eh bien, vous avez votre réponse. Je ne suis pas là pour ruiner des relations, je donne simplement aux femmes des preuves ».
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« Parfois, il suffit d’une selfie »
Le moins que l’on puisse dire, c’est que la vingtenaire gagne une petite fortune grâce à son activité parallèle.
Elle facture 5 000 dollars (environ 4 272 euros) pour tester la loyauté d'un petit ami, en utilisant les réseaux sociaux ou les informations téléphoniques de l'homme. Une fois les preuves récoltées, elle les envoient à ses clientes.
« Parfois, il suffit d’un selfie ou d’un emoji coquin. J’ai des déjà eu des hommes qui ont essayé de me rencontrer le soir même. Honnêtement, c'est choquant de voir à quelle vitesse ils craquent », a-t-elle confié.
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Une femme qui avait envoyé un message à Madison pour lui demander de l'aide a fondu en larmes après avoir vu les captures d'écran. « Je le savais, j'avais juste besoin d'une preuve », aurait-t-elle dit.
Le mannequin pense qu'il vaut mieux savoir avec certitude que son « partenaire est un coureur de jupons» plutôt que de « vivre dans l'ignorance ».
Comme elle le précise, la créatrice de contenu reste strictement professionnelle : pas de rencontres en personne et chaque action est d’abord approuvée par ses clientes.
« C'est fou le nombre d'hommes qui n'hésitent même pas à céder à la tentation. Je ne contacte personne de mon propre chef. Ce sont ces femmes qui viennent me voir et, honnêtement, je les comprends : moi aussi, je voudrais savoir ».
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Le malheur des unes fait les affaires des autres !